Audi A2 1.2 TDI : une voiture consommant 3,0 l/100 km

Audi A2 1.2 TDI : une voiture consommant 3,0 l/100 km

A l’occasion du salon automobile de Francfort – IAA 2001, Audi dévoilait une version économe en carburant, renforçant la gamme A2 : l’Audi A2 1.2 TDI, commercialisé uniquement dans certains pays européens (par exemple en Allemagne mais pas en France). Ne consommant que 3,0 litres de gazole aux cent kilomètres, elle était le premier modèle à quatre portes au monde dont la consommation s’établissait à trois litres aux cent. Comme toutes ses sœurs de la gamme, l’A2 1.2 TDI trois litres présente sous une forme compacte toutes les qualités d’une voiture de qualité extrêmement fonctionnelle. Elle convainc tout autant par son habitabilité que par son confort de roulage et par son niveau de finition. Avec la flambée des prix des carburants, cette voiture – se trouvant encore en occasion – peut être un choix intéressant pour rouler moins cher.

Progrès aérodynamique en soufflerie
Les ingénieurs Audi ont ramené au chiffre sensationnel de 0,25 le coefficient de traînée (Cx) de l’A2 1.2 TDI. L’A2 trois litres s’attribue ainsi la palme de l’aérodynamisme pour les voitures de série et ce, en dépit de sa silhouette compacte. Le travail des aérodynamiciens s’est appuyé sur l’excellente base de départ dont ils disposaient avec l’A2 (produite de 1999 à 2005) et à partir de laquelle ils ont passionnément concocté leurs améliorations.

La carrosserie de l’Audi A2 est caractérisée par une silhouette qui s’amenuise vers l’arrière – et qui se rapproche des formes en goutte d’eau dont l’aérodynamisme est connu. L’habitabilité de la voiture et plus particulièrement l’espace à l’arrière n’en sont que plus surprenants lorsque l’on regarde cet effilement de la forme.

Les aérodynamiciens ont optimisé la carrosserie de l’A2 pour lui permettre d’atteindre l’objectif des trois litres. Ils ont par exemple partiellement fermé les ouïes du bouclier avant afin de réduire la résistance à l’air de la proue. Cette évolution a été permise par une meilleure exploitation du volume d’air entrant.

Autre amélioration : l’A2 1.2 TDI est chaussée de pneus Bridgestone Ecopia d’un genre nouveau au format 145/80 R 14 qui réduisent la résistance au roulement et améliorent en outre l’aérodynamisme.

Plus étroits que les pneumatiques standard de la gamme A2, ils portent sur les flancs de fines rainures qui optimisent la circulation des flux d’air. Les nouveaux enjoliveurs de roue ont été adaptés à ces nouveaux pneus et réduisent également la résistance à l’air de la voiture.

L’A2 comportait déjà un soubassement très aérodynamique. La version trois litres bénéficie en supplément de garnitures spéciales qui dérivent l’écoulement de l’air de façon à ce qu’il contourne les secteurs critiques. Ainsi, le soubassement – l’une des zones aux potentiels techniques les plus riches sur le plan aérodynamique – a été conçu sur l’A2 1.2 TDI pour réduire la résistance à l’air en évitant au maximum les tourbillonnements.

TDI – La sobriété poussée à son comble
Le moteur turbodiesel à injection directe de l’A2 trois litres contribue pour une part essentielle à la sobriété de la voiture. Ce TDI moderne et efficient s’inscrit dans une longue lignée puisqu’Audi n’a cessé depuis le début des années 1990 de promouvoir la technologie TDI et d’améliorer la sobriété de ses moteurs – qui s’accompagne toujours de performances et d’un confort de marche exemplaires.

Le moteur a dû se plier aux mêmes règles que la carrosserie, autrement dit passer par une cure d’allégement. Il est donc le premier diesel à injection directe à comporter non seulement une culasse mais aussi un carter-cylindres en aluminium. Le gain de poids s’élève à 16 kilogrammes environ par rapport à un bloc en fonte grise. Avec ses 100 kilogrammes seulement, le trois cylindres TDI de 1,2 litre compte parmi les moteurs diesel automobiles les moins lourds au monde.

Son rendement thermodynamique est en outre le plus élevé de tous les moteurs automobiles de série. Cet atout lui vient d’une injection directe avec système injecteurs-pompes haute pression et d’un turbocompresseur à géométrie variable. Cette dotation technique lui assure réactivité et agilité, une obtention rapide de la pression de suralimentation optimale et d’excellentes reprises sur l’ensemble des plages de régime.

Les trois injecteurs-pompes – un par cylindre – sont montés dans la culasse et directement entraînés par l’arbre à cames. Cette technologie rend superflues les conduites de pression tout en permettant d’atteindre jusqu’à 2050 bars à l’injection. Les hautes pressions améliorent le rendement du moteur grâce à une pulvérisation plus fine du gazole qui optimise la combustion – autrement dit la consommation et les émissions.

Disponible entre 1 800 et 2 400 tr/min, le couple maxi du 1.2 TDI s’élève à 140 Nm. Dès 1 300 tr/min, autrement dit juste au-dessus du régime de ralenti, la voiture dispose de presque 80% de son couple moteur, ce qui explique aussi son agilité et sa sobriété.

Efficient et puissant de par sa conception, le moteur anime cette compacte légère en toute facilité. Avec 14,9 secondes pour passer de 0 à 100 km/h et une vitesse maximale de 168 km/h, ses performances ne sont pas une priorité.

Transmission intelligente
La boîte de vitesses mécanique à commande automatisée de l’A2 1.2 TDI lui permet de se dispenser de la pédale d’embrayage. Le conducteur peut tranquillement reposer sa jambe gauche, le débrayage et l’embrayage étant assurés par un système hydraulique à pilotage électronique intelligent.

Les modes de commande de la boîte sont au nombre de trois : une commande manuelle avec présélection tiptronic, une commande intégralement automatique des rapports sur la base d’une loi de passage classique et une autre en mode Eco.

Le conducteur peut placer le levier-sélecteur de la console centrale dans deux couloirs : s’il le positionne dans le couloir de gauche, il lui suffit ensuite de le pousser légèrement pour présélectionner les rapports qu’il veut engager. Lorsque le levier-sélecteur est placé dans le couloir de droite de la console centrale en position E, le conducteur s’en remet à l’électronique pour un passage des rapports automatique et toujours adapté aux plages de service et aux besoins en puissance instantanés du moteur.

Un commutateur supplémentaire sur la console centrale sert à activer pour un surcroît de sobriété le mode de passage Eco et la fonction « Start/Stop » : elle coupe le moteur si le véhicule s’arrête pour plus de quatre secondes et si le conducteur appuie sur la pédale de frein et la maintient enfoncée ; lorsqu’il relâche la pédale, le moteur redémarre instantanément.

Lorsqu’il lève le pied de l’accélérateur pendant le roulage, l’électronique débraye : la voiture continue « en roue libre » et le moteur ne tourne qu’au ralenti. Dès que le conducteur ré-appuie sur l’accélérateur, l’électronique embraye une fois afin d’atteindre le régime nécessaire. Elle réembraye également au freinage – en descente par exemple – afin d’exploiter l’effet du frein-moteur.

Le moteur n’entre donc en action que lorsque sa puissance est vraiment requise. Au bout du compte, l’A2 1.2 TDI consomme donc en mode Eco moins de trois litres aux cent kilomètres (consommation totale selon la norme 1999/100/CE). Avec une petite contenance de 21 litres, son réservoir lui vaut donc une autonomie théorique de plus de 700 kilomètres. A partir de 2002, le réservoir de carburant est passé à 32 litres offrant plus de 800 km d’autonomie.

Audi A2 1.2 TDI – une double économie
Le conducteur d’une Audi A2 en version 3 litres est récompensé par l’exceptionnelle sobriété de sa voiture, mais ce n’est pas tout : l’A2 1.2 TDI entre dans la catégorie de dépollution 1999/102/CE valable pour tous les pays de l’Union. En Allemagne, elle satisfait même dans sa version de base aux exigences de la norme D4, la plus sévère de l’époque. Pour les autres pays d’Europe, elle satisfait bien entendu aux exigences de la norme EURO.

En Allemagne, l’Audi A2 1.2 TDI bénéficiait à la fois de son statut officiel de voiture « trois litres » et de la diminution des taxes fiscales liée à son respect de la norme D4.

Sa sobriété et son niveau de dépollution ne suffisent pas à rendre une voiture plus attirante du point de vue écologique : c’est le bilan total qu’il faut considérer, depuis l’extraction des matières premières jusqu’au recyclage en passant par toute la durée d’exploitation. Que l’on prenne pour paramètre les émissions de CO2 cumulées sur le cycle de vie total de la voiture, ou encore sa consommation d’énergie ou le bilan de tous les facteurs nuisibles à l’environnement, l’Audi A2 1.2 TDI constituait au début des années 2000 l’automobile de série la plus évoluée dans sa catégorie de taille et de puissance et ce, dans le monde entier.

Audi est un constructeur qui dispose d’un savoir-faire et d’une expérience uniques dans le secteur du développement et la production en série de voitures en aluminium. Les différentes générations d’Audi A8 et leurs carrosseries en aluminium sont construites depuis 1994 sur le site Audi de Neckarsulm, où était également fabriquée l’Audi A2. C’est au Centre Aluminium Audi qui est implanté sur ce site que la technologie moderne de l’aluminium pour l’automobile a vu le jour.

Technologie Audi Space Frame (ASF)
L’Audi A8 a renouvelé les références en vigueur dans la catégorie haut de gamme. Sa caisse tout aluminium construite selon le concept ASF était une nouveauté intégrale et représentait un pas de géant pour la construction de carrosseries à la fois plus légères et plus solides. Le gain de poids augmente à la fois la sobriété du véhicule et son agilité. En outre, la technique ASF offre aux occupants une protection optimale dans l’habitacle.

Pour ce qui est des ordres de grandeur, l’Audi A8 était produite annuellement au rythme de 15 000 unités – mais Audi souhaitait commercialiser au moins 60 000 exemplaires par an de l’A2. La technique ASF a donc dû être adaptée au passage à la grande série ; l’A2 était le premier véhicule qui concrétise la technologie aluminium dans le contexte de la grande série.

Nouvelles dimensions pour la technologie aluminium
L’Audi A2 affiche une légèreté record, certes, mais elle n’a rien d’un ‘poids plume’ sur le plan technique – au contraire : elle regorge d’idées et d’innovations qui n’étaient encore jamais passées à la grande série.

Le principe d’une réalisation ASF est le suivant : une structure cadre haute résistance en aluminium à laquelle les panneaux de carrosserie autoportants sont intégrés. La structure elle-même – elle ne pèse que 76 kilogrammes environ – ressemble à une cage constituée de profilés extrudés généralement solidarisés par des goussets de liaison coulés sous pression sous vide. L’emploi de tôles d’aluminium à haute limite d’élasticité contribue à rigidifier la structure, qui n’en reste pas moins très légère.

Ainsi, la structure latérale est composée de pièces coulées sous pression sous vide et d’une extrême complexité de forme. Ces éléments en aluminium avec renforts multiples et diverses épaisseurs de paroi permettent d’obtenir une solidité et une rigidité qui se solderaient par un supplément de poids considérable dans le cas d’une structure en acier.

C’est le recours à des techniques de liaison avancées – comme le soudage laser par exemple – qui résout de façon aussi convaincante le conflit d’objectifs habituel entre la résistance – maximale – et le poids – minimal. Le cadre de pavillon est constitué de profilés obtenus par formage à haute pression interne. Cette technique permet de varier plusieurs fois la section des profilés sur une longueur totale donnée, et d’adapter le composant aux contraintes qu’il subira localement – d’où un allégement optimal. La plupart des découpes sont également réalisées au cours de cette opération. La coque avec les ouvrants affiche un poids inférieur de 43% à celui d’une réalisation comparable en acier.

Les côtés de caisse représentent également un chef d’œuvre de métallurgie moderne de l’aluminium – qui touche aux limites actuelles du possible.

La partie latérale complète – du montant avant au rebord du coffre arrière en passant par les baies de portières – est constituée d’un panneau d’aluminium formé d’un seul tenant. Ceci garantit une grande précision de cotes et une qualité reproductible, deux conditions indispensables à un degré d’automatisation poussé et aux chiffres de production de la grande série.

Une légèreté fondamentale
Une voiture dont la consommation se situe en dessous des trois litres doit impérativement présenter un faible poids total – c’est là une condition sine qua non.

Les techniciens ont donc systématiquement travaillé à abaisser le poids de nombreux composants sur la version trois litres. Le châssis de l’A2 1.2 TDI pèse ainsi 80 kilogrammes de moins que celui de l’Audi A2 1.4 TDI. Les berceaux et les triangles de suspension ainsi que les jambes amortissantes ont été construits en aluminium et non en acier. Les étriers de frein coiffant les disques avant et les tambours arrière sont eux aussi en aluminium.

Les jantes forgées en aluminium spécialement conçues pour contribuer à la réduction du poids permettent également de gagner sur les masses non suspendues.

L’habitacle s’est également prêté aux mesures d’allégement. La banquette arrière par exemple a perdu 19 kilogrammes grâce à l’emploi de matériaux sandwich – une cure de haute technologie qui a nécessité la prise en compte minutieuse du moindre détail et un investissement technique considérable.

Tous les efforts entrepris ont été récompensés puisque le poids de l’A2 1.2 TDI est tombé à 855 kilogrammes seulement, soit 135 kilogrammes de moins qu’une 1.4 TDI ‘normale’.

La technique au service de l’agilité
L’Audi A8 a déjà fait la preuve que la technologie Audi Space Frame crée des prémisses idéales pour une bonne tenue de route. L’extrême rigidité de la caisse profite au châssis et à la précision de ses réglages. En outre, le faible poids du véhicule a pour avantage une grande agilité de comportement sans qu’il soit nécessaire de recourir à une forte puissance moteur.

L’Audi A2 démontre ainsi que l’on peut combiner tous les avantages pratiques d’une voiture compacte à un maximum d’agrément de conduite et à une consommation extrêmement faible.

Le châssis de l’Audi A2 associe la technique éprouvée d’un train avant du type McPherson et d’un essieu à torsion à bras tirés à l’arrière aux systèmes électroniques les plus avancés : elle comprend un contrôle électronique de stabilité ESP qui regroupe les fonctions de l’antiblocage de roues ABS avec répartiteur de freinage EBV, du différentiel autobloquant électronique, de l’antipatinage ASR ainsi que du contrôle du couple de lacet qui les coiffe.

Haut niveau de sécurité
Comme dans le cas de l’Audi A8, l’architecture ASF permet de concrétiser un niveau de sécurité passive élevé. La rigidité de la cage aluminium fait que les occupants sont protégés par une structure solide. En cas de choc, la transformation de l’énergie intervient de façon particulièrement efficace grâce à des éléments à la déformation précisément calculée.

L’Audi A2 est équipée de deux coussins de sécurité gonflables frontaux et latéraux avant, de prétensionneurs de ceinture à l’avant et de limiteurs d’efforts à toutes les places. Elle offre donc à ses occupants un niveau de sécurité élevé que complète le système d’airbags rideaux Sideguard proposé en option.

Les coussins du système Sideguard se déploient entre la tête et le cou des occupants et la quasi-totalité de la surface vitrée latérale et des montants avant et médians, offrant ainsi une protection supplémentaire dans de nombreuses configurations de chocs latéraux ou diagonaux. Les chambres restent gonflées cinq secondes environ afin que le coussin continue de jouer un rôle protecteur en cas de collision secondaire ou de retournement.

Le visage du progrès
Le design contemporain de l’Audi A2 réconcilie les contraires en mariant la solidité à la légèreté. Le pavillon traversé de fines nervures et la généreuse lunette arrière avec son dessin aérien soulignent la légèreté de la voiture tandis que la ligne haute de la caisse compacte fermement plantée sur ses quatre roues parle solidité et sécurité.

L’Audi A2 adopte un style bicorps avec démarcation claire entre la partie moteur et la partie habitacle. Cette conception alliée à la modernité du design confère à l’Audi A2 une silhouette très adulte.

Le tracé clair des lignes, la découpe géométrique marquée des arches de roue et les jours nets de la carrosserie constituent un langage formel sans ambiguïté. La proue de l’A2 dit son esprit puissant avec en particulier des optiques bien dessinés, un pare-chocs quasiment intégré à la silhouette et une unité cernée de chrome qui regroupe la calandre et le module d’entretien.

Le hayon généreusement vitré descend jusqu’au pare-chocs afin de faciliter le chargement du coffre (volume de 350 litres, et de 1 085 litres une fois repliée la banquette arrière rabattable proposée en option). Le hayon comporte un déflecteur qui améliore l’aérodynamisme mieux que ne le font les déflecteurs de pavillon et qui dirige les flux d’air de telle sorte que sa vitre ne se salisse pas par temps de pluie.

Plancher ‘Space Floor’ pour une habitabilité optimale
Sa longueur hors tout de 3,82 mètres et sa largeur de 1,67 mètre font de l’Audi A2 un véhicule compact qui n’occupe qu’une faible surface au sol et dont l’exceptionnelle habitabilité surprend d’autant plus. Les occupants installés dans l’A2 se sentent à l’aise ; avec sa hauteur de 1,55 mètre, elle leur offre un sentiment d’espace des plus agréables ; à l’avant comme à l’arrière, tout le monde dispose d’une garde au toit confortable et d’un espace généreux au niveau des coudes et des genoux.

Le plancher ‘Space Floor’ contribue à l’ergonomie et au confort de la position d’assise des passagers installés aux places arrière. L’habitabilité de l’Audi A2 lui vient aussi de cette particularité astucieuse du plancher arrière qui présente un encaissement grâce auquel les passagers peuvent confortablement loger leurs jambes et adopter spontanément une position d’assise détendue et conforme à leur morphologie.

Équipements de confort à la demande
On peut être économe sans être spartiate. Effectivement, le conducteur et les passagers de la version la plus sobre de la gamme A2 n’ont aucune raison de renoncer aux accessoires du confort spécifiquement Audi. La liste des équipements optionnels correspond donc à peu de choses près à celle des versions A2 plus puissamment motorisées et ne laisse personne sur sa fin.

L’A2 1.2 TDI peut être équipée d’une direction assistée et d’un volant cuir à quatre branches. Le réglage en hauteur des sièges avant permet au conducteur et à son passager de trouver facilement la position qui leur convient le mieux quelle que soit leur stature. Les trois autoradios qui étaient proposés au catalogue (versions K7 et CD) leur dispensent un parfait plaisir d’écoute : Radio chorus comportant quatre haut-parleurs à l’avant, Radio concert huit haut-parleurs répartis entre l’avant et l’arrière et Radio symphony pouvant être combiné à un lecteur de CD intégré.

La climatisation automatique assure une atmosphère équilibrée dans l’habitacle quel que soit le temps qui règne dehors. Le chauffage des sièges disponible aux places avant procure rapidement une bonne impression de chaleur, fort appréciable lorsque l’on prend place à bord le matin après une nuit en dessous de 0°C. Les rétroviseurs extérieurs et les gicleurs de lave-glace dégivrants optimisent rapidement la visibilité et la sécurité sur la route.

L’habitacle pouvait être agrémenté en option du Pack Aluminium avec au niveau des poignées de maintien, des contreportes, du soufflet du levier de vitesses et de la planche de bord des placages décoratifs qui répondent aux lignes claires et fonctionnelles de l’habitacle.

L’Audi 1.2 TDI en occasion
Disposant de nombreux avantages et points forts, l’Audi A2 a malgré cela été un flop pour Audi qui a stoppé sa production en 2005 et n’a jamais proposé un modèle pour la remplacer. Ce modèle était très en avance sur son temps de par sa technologie et ses équipements et la clientèle n’était pas prête pour payer une modèle aussi cher pour son époque et par rapport à la concurrence. Sa structure et sa carrosserie en aluminium font qu’en cas d’accident, la facture peut très vite gonfler et l’assurance peut ainsi être plus élevée qu’une voiture concurrente.

Commercialisée uniquement dans certains pays, l’Audi 1.2 TDI ne se trouve pas facilement sur le marché de l’occasion, notamment en France. Au fil du temps, certains éléments (comme le ciel de toit ou le toit ouvrant) montrent la limite de leur qualité, mais en général l’Audi A2 vieillit assez bien.

Le point le plus important à surveiller est le bon fonctionnement de la boîte spécifique à ce modèle qui doit être bien entretenu. Globalement, la voiture est assez fiable et plaisante à conduire au quotidien. De nombreux modèles dépassent facilement les 300 000 km voire même au-delà de 600 000 km.

Les prix en occasion débutent à partir de 1 200 euros pour aller au-delà de 5 000 euros.

Photos : 4Legend.com / Audi

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